Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du surnom d’Orhan découvrit un objet particulier parmi ses innovantes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en bois, engloutir et précieusement façonné, orné d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous la clarté des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, https://trentoneryeg.bloggactivo.com/33137612/l-éclipse-des-chroniques