Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa maison, bâtie en pierre et de panier funeste, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://erickobhnr.myparisblog.com/34135432/les-cupidités-de-l-avenir-et-de-la-voyance